Pour chacune de ces propositions de scénarios, l’audit énergétique précise :
* la consommation annuelle d’énergie du logement après travaux,
* ses émissions de gaz à effet de serre,
* l’estimation du coût des rénovations et des économies d’énergie qu’ils généreront,
* les aides que le propriétaire peut solliciter pour réaliser sa rénovation.
Par dérogation, pour les deux scénarios proposés, si les caractéristiques techniques et architecturales ne permettent pas d’atteindre l’étiquette B de DPE ou si le coût des travaux apparaît disproportionné au regard de la valeur du bien, le parcours doit au moins prévoir le traitement des six postes de travaux et permettre d’atteindre la classe C pour les bâtiments de classe E avant travaux ; la classe D pour les biens de classe F avant travaux et la classe E pour les logements de classe G avant travaux.
Les travaux ne sont évidemment pas obligatoires pour permettre la vente du bien, même si l’audit reste obligatoire.
Il reste néanmoins essentiel pour identifier les lacunes du logement et permettre d’y répondre. Il s’agit finalement d’un moyen supplémentaire pour convaincre les propriétaires de réaliser des travaux.
Le coût de l’audit oscille entre 500 et 1.000 euros en maison individuelle et il ouvre droit à une aide MaPrimeRénov’ allant jusqu’à 500 euros, selon vos revenus.